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 Orube McGrey

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2 participants
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Orube McGrey

Orube McGrey


Messages : 14
Age : 38
Péché : Colère

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MessageSujet: Orube McGrey   Orube McGrey I_icon_minitimeLun 17 Aoû - 19:29

I - IDENTIFICATION


- NOM : McGrey
- Prénom : Orube
- Age: 23 ans
- Date de naissance: 10 Mars 1986
- Statut Invitée
- Pêché prédominant: La Colère




II - QUI ETES VOUS ?


- Physique: Vous me croirez si je vous dit que son physique est une des plus grandes sources à problème d’Orube? Non, bien sûr. Difficile de croire un truc pareil quand on la voit. Elle n’est pas le top canon le plus sublimissime de l’univers, certes, mais possède suffisamment de «ressources naturelles» pour s’attirer pléthores de regards lubriques et ce, en toute circonstance. Sa taille de mannequin lui fait avoisiner le mètre 80, bien qu’elle n’aie rien à voir avec ces nymphettes squelettiques qui parcourent les podiums: non, Orube elle, est plutôt athlétique, un peu carrée d’épaules, sportive et ça se voit. Son teint halé de latino lui convient particulièrement bien, s’accordant avec des cheveux noirs, ondulés et volumineux qui tombent en cascade lustrée jusque sur ses seins, dont d’ailleurs elle est très fière. En résumé, elle n’est pas forcément belle mais plutôt très séduisante, ce qui lui cause bien des tracas. En effet de part son caractère solitaire, Orube ne demande en général qu’une chose: qu’on la laisse tranquille. Passer inaperçue. Inutile de préciser donc que ce n’est pas du tout le cas, ses formes généreuses et bien proportionnées la faisant en général passer pour une fille de joie ou tout simplement, une allumeuse. Et oui, qui a dit que la beauté n’était pas un fardeau? Avec une telle réputation, il lui est bien difficile de raser les murs, et plus encore d’éviter les regards concupiscents, les yeux louchant sur son décolleté ou ses hanches voluptueuses. Ajoutez à cela des lèvres charnues, brillantes, des yeux aussi noirs que ses cheveux et vous aurez la panoplie complète de la fille qui a exactement le profil… pour faire le trottoir.

- Caractère: La Colère.
Tout le temps. Toujours.
Voici le trait de caractère principal de la jeune femme. Il n’est pas seulement son pêché capital: il est Orube. Elle ressent cette sensation tant de fois par jour qu’elle lui est devenue supportable, coutumière, presque protectrice; à tel point que si elle ne ressent pas la fureur pendant plus d’une poignée d’heures d’affilées, elle se demande ce qu’il lui arrive. A tel point que la plupart de ses réactions sont invariablement dictées par la colère. A tel point que la colère finit presque par occulter la tristesse… Un malentendu? Orube s’énerve. Une situation qu’elle ne connaît pas et qui lui fait peur? Orube s’énerve. Un événement déchirant, tel que la mort d’une personne chère? Orube ne pleure pas, jamais; elle s’énerve. Contre le destin, la vie, ou même la poisse, ce que vous voulez… mais jamais de peine, rien que de la colère.
Hé oui, vous me direz que cela prend des proportions gargantuesques. Et vous avez raison. Un rien agace Orube, elle s’énerve souvent contre tout ce qui bouge, démarre au quart de tour, absolument tout l’insupporte, et la réputation de son comportement sanguin la précède de loin. Dans chaque geste, chaque parole, elle est capable de trouver un motif de mécontentement Même si c’est injustifié et qu’elle préférerait manger des clous pour le reconnaître: car la demoiselle a aussi un ego qui prend beaucoup de place. Elle préfère marcher la tête haute, déteste l’humiliation et montrer ses faiblesses aux autres. D’ailleurs, les autres, elle préfère les éviter, quels qu’ils soient, et pour cause: comment voulez-vous être sociable avec un caractère pareil? Orube est solitaire, très indépendante, aimant le calme, la tranquillité et par dessus tout la liberté. Elle a des tendances légèrement claustrophobes dans les espaces clos et… bon, pas paranoïaque, mais elle est très méfiante envers les gens et voit souvent des complots partout. Cartésienne, susceptible, elle n’hésite pas à se montrer très franche, ironique et méchante quand la colère la prend. C'est une égoïste patenté qui se soucie avant tout de son bien-être à elle, et n'hésite pas à recourir à la violence qui selon elle règle parfaitement les problèmes malgré le diction. Autant dire qu’elle n’est pas facile à vivre du tout!
- Histoire: Maintenant que vous avez lu le début de ma fiche, il y a une chose que vous êtes sensés vous demander à ce stade de la présentation: mais pourquoi, diable, pourquoi suis-je ainsi? Et comment ais-je pu en arriver là?
Je vous rassure tout de suite: je n’ai pas eu ce qu’on pourrait appeler une enfance «lambda» pour être aussi colérique et égoïste. Oui oui, moi-même je le reconnais et je m’assume totalement. Je SAIS, pas la peine de me sortir le blabla catholique sur le salut de mon âme et ma souillure originelle, je sais parfaitement que j’ai du soucis à me faire mais je m’occuperais de mon karma plus tard.

Bon, on y va.
Je suis née dans la banlieue de Seattle en 1986, alors qu’il faisait encore moche et pourri comme d’habitude, à savoir flotte sur la tronche, grisaille 226 jours par an, vent du Nord et tout le toutim. Moi qui aime le beau temps et la chaleur, on peut dire que je suis tombée sur le mauvais foyer. Mais à vrai dire, ce n’était pas le climat le pire. Plutôt mes infernaux darons qui m’ont pourri mon enfance. C’était un couple de chauvinistes friqués qui avaient fait une sorte de mariage d’intérêt, toujours dans leur optique traditionaliste complètement archaïque qu’ils ont gardé jusqu’au bout. J’ai eu une sœur aînée et un petit frère; mais au sein de la famille, leur statut était radicalement différent du mien. Notre mère les élevait certes avec rigueur, mais en leur donnant toute la tendresse dont ils eurent besoin; ce ne fut pas mon cas. Elle ne l’a jamais avoué à voix haute, mais je suis quasiment sûre que ma mère me haïssait parce que je lui rappelais un odieux adultère qu’elle fuyait et dont elle faisait tout pour effacer les traces. Je n’ai jamais eu droit à son affection ni même à sa compassion. Mon père lui, était plutôt du genre absent, absorbé par le boulot en laissant l’éducation des mômes à sa femme.
Très vite, j’ai eu le sentiment d’étouffer. Ma mère ne supportait pas que j’échappe à son contrôle et voulait obscessionellement encadrer ma vie, la grillager, y poser les limites qu’elle voulait, quand elle voulait, et modifiables à souhait avec ça. C’était une vie d’interdit, une période où habituellement l’enfant s’épanouit en découvrant le monde et jouant avec ses pairs comme le faisait déjà ma sœur, tandis que je devais mener une existence de paria, toujours contourner les règles sans me faire choper. On se serait cru dans une autre époque, style Moyen-Âge. En tout cas, ma maison était vite devenue une belle prison dorée de laquelle je n’ai plus eu qu’une envie: m’échapper.

Je crois que c’est de là que viens ma soif de liberté, mon amour pour les grands espaces, mon aversion pour les petites pièces closes. Au début, j’ai encaissé sans rien dire, persuadée que ma mère ne pourrait pas me haïr pour toujours. Mais l’année de mes 11 ans, le soir de mon anniversaire où, suite à une dispute, ma mère m'envoya au lit sans manger pendant que le reste de la famille faisait la fête, la vérité s’est imposée à moi: rien n’avait changé. Et rien ne changerait jamais si je ne me bougeais pas les fesses. De la soumission, je passais alors soudain à la rébellion. Les premiers temps, la situation resta la même, car ce revirement d’attitude déplu fortement à ma génitrice qui matta les révoltes plus brutalement que jamais. Mais trop tard, la machine était en marche. Dans mon cœur avait jailli la colère… et plus rien ne devait l’arrêter.
Dès lors, je n’ai pas cessé de me défendre, toujours en criant, claquant les portes, envoyant valdinguer la vaisselle; ce que ma mère appela la crise d’adolescence et, bien que le moule soit un peu trop étroit et cliché pour être exact, je dois lui reconnaître un certain fond de vérité. J’étais maintenant impossible, un vrai poison; par rapport à ce qu’il se passait autour de moi, je suis devenue violente. La situation était de plus en plus critique à la maison, atteignant des paroxysmes de colère. Le lendemain de mes 16 ans, j’ai fugué de la maison. Je n’ai plus jamais revu ma mère.

J’ai d’abord trouvé refuge chez une amie de longue date; mais au bout de deux soirs, elle m’a viré, car nous nous sommes disputées. Je dois avouer que c’était de ma faute: je m’étais montrée très désagréables, ces dernières années m’avaient rendues irascible et je n’avais pas cessé de critiquer son gars, ce qu’elle a très mal pris. Ensuite, j’ai dormi dans ma bagnole, quelque fois chez d’autres potes, ou encore plus rarement chez des conquêtes. La vie n’était pas rose mais au moins, c’était la liberté.
Seul hic: j’étais en situation d’emploi précaire et je désespérais de me trouver un jour un logement confortable.
Pas question de demander de l’argent à mes vieux: question de fierté. J’avais pris mes clics et mes clacs pour de bon. J’ai vogué de petit boulot en petit boulot jusqu’à 18 ans, âge auquel j’ai voulu trouver un véritable emploi digne de ce nom, sans succès. J’ai juste réussi à économiser assez pour crécher dans une piaule minable, au sommet d’un appart’ en ruine dans le centre ville. Moi qui avait horreur de la foule, de la pollution, des espaces clos… l’enfer était sur le point de recommencer. L’année de mes 20 ans, j’ai rencontré Bryan. J’ai bien cru que j’allais finir mes jours avec lui: c’était la première fois que je tombais amoureuse, moi qui auparavant n’avait eu que des aventures sans sentiments. D’ailleurs, j’ai même emménagé chez lui. Mais au bout d’un an, la colère a tout détruit, une fois encore. A la suite d’une dispute ou j’avais été plus colérique que jamais, il m’a foutue dehors.

Inutile de vous peindre le tableau jusqu’à aujourd’hui, car il fut le même. Galère, ennuis financiers, mécontentement… L’automne dernier, ça a été la crise, la baisse du pouvoir d’achats, tous les trucs qui n’ont pas du tout contribué à améliorer ma situation. J’ai cru que je ne m’en sortirais jamais. Et puis, j’ai reçu cette lettre. Cette fameuse lettre, qui semblait sortir tout droit d’un paradis inespéré et qui me proposait le jardin d’Eden: si je gagnait, j’aurais droit à une petite baraque dans le Colorado, un coin paumé, tranquille à souhait, de grands espaces, plus de ville ni de foule ni de bruit… bref, le pied absolu.
La liberté concrétisée.

J’ai joué.
Par contre… je ne sais pas si j’ai perdu.

- Informations supplémentaires: A une furieuse tendance à cogner tout ce qui bouge





III - MAIS ... AU FAIT ...


- Personnalité sur l’avatar: Sarah Shani
- Ce qui a poussé votre inscription Le concept en premier lieu, que je trouvais franchement sympa! J'adore cette idée de gens qui se retrouvent sans trop savoir comment dans un milieu hostile, avec en toile de fond un inconnu qui tire les ficelles. Le fait qu'il y aie 7 pêchés permet une plus grande diversité que si il n'y avait que deux ou trois groupes. Et puis le design avec le heather tournant est super classe =D
- Avez- vous des critiques à faire ? Heu, plutôt un avis personnel je dirais. Je trouve ça dommage qu'on ai pas droit aux anonymes pour les avatars. Mais bon
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Orube McGrey

Orube McGrey


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MessageSujet: Re: Orube McGrey   Orube McGrey I_icon_minitimeMar 18 Aoû - 0:37

Finish =D J'éspère que ça ira!
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Taylor Gordon
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Taylor Gordon


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MessageSujet: Re: Orube McGrey   Orube McGrey I_icon_minitimeMar 18 Aoû - 1:38

Bonsoir ou bonjour, il est tôt après tout.

Ta fiche est correcte. Tous les points sont remplis. Je te valide donc de ce pas et te souhaite un bon jeu parmi nous.

Ah et avant que j'oublie, je voulais te préciser le pourquoi des avatars inconnus. ^^ En soi, ce n'est pas qu'on ne les aime pas mais plutôt qu'elles sont dérangeantes dans le sens où le net est une formidable sources d'images dont certaines ne sont pas libres d'usage. J'entends par là, qu'un "particulier" peut diffuser sa photo sur son blog sans pour autant la voir exploiter ailleurs. Évidemment ce n'est pas général mais il vaut mieux éviter toute déconvenue à ce sujet. study

Je te re-souhaite la bienvenue par ici. Amuse toi bien. Wink
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MessageSujet: Re: Orube McGrey   Orube McGrey I_icon_minitime

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