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 Edward Valentine

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2 participants
AuteurMessage
Edward Valentine

Edward Valentine


Messages : 8
Péché : l'Envie

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MessageSujet: Edward Valentine   Edward Valentine I_icon_minitimeLun 20 Juil - 14:46

I - IDENTIFICATION


- NOM : Valentine
- Prénom : Edward
- Age : 22 ans
- Date de naissance : 9 avril 1987
- Statut : (employé(e)/invité(e) Invité
- Pêché prédominant : l’Envie




II - QUI ETES VOUS ?


- Physique (5 lignes minimums) :

Tu n’as point le physique d’un athlète, tu es au contraire fin et élégant. Ta peau n’est celle des hommes rustres: jamais rugueuses ou brûlée par le soleil, elle est douce et claire, diaphane. Tu sembles si fragile avec ces traits fins qui délimitent ton visage tantôt rêveur, tantôt observateur mais toujours silencieux. Précieuse créature, noble d’un autre temps avec tes cheveux légèrement longs que tu coiffes avec soin. Car oui, tu prends soin de ta personne que certains qualifient justement de raffinée.

Des mains de pianiste, des doigts d’artiste… élégant jeune homme qui évolue dans le monde sans sembler y prendre part. Tu as ce charisme qui attire l’œil mais qui ne rivalise pas avec ces hommes aux sourires ravageurs, une plastique d’athlète et des yeux de tombeur. Les tiens sont d’un gris étrange, ils ne voient aucune couleur dans ce monde à part une certaine demoiselle… le reste, tu ne le vois qu’en noir et blanc. Ces mêmes couleurs te composent : jeans, chemises et blaser blancs, gris ou noir… délicieux garçon qui fait tout pour avoir cette classe naturelle, cette prestance qui pourrait laisser un homme quelconque dans l’ombre.

Oui Edward, tu sors enfin du lot. Tu es un homme aujourd’hui avec cette petite moustache qui souligne tes lèvres, tes un mètre quatre-vingt sept et cette élégance naturelle, cette nonchalance qui te rapproche des poètes maudits. Tu portes sur tes épaules le poids d’un lourd péché mais jamais ton dos ne se courbe. Souple et rapide plutôt que raide et fort, escrimeur plutôt que boxeur. Ta puissance se dissimule sous ton apparence fragile, surprise sera celui qui mesurera ta force insoupçonnée lors d’une confrontation. Certains y ont succombés. Toi qui as l’apparence d’un ange mais le diable au corps, tu n’es qu’un pêcheur qui n’existe que parce qu’il en a…

Envie



- Caractère ( 10 lignes minimums):

Qui es-tu pauvre fou ? Que cache ton âme ? La Passion. Celle qui prend aux tripes, qui prend le souffle et dérobe les battements de cœur. Tu as toujours été passionné… le jeu d’échec, les livres, l’écriture, le dessin, l’escrime ou encore la musique. Jeune talentueux qui gâche son intellect en boudant mathématiques et logique, sauf celle de la manipulation. Les sentiments n’en ont point, de logique, me diras-tu. Tu as raison, mais est-ce un argument pour vouer une passion sans fin à une femme qui ne te remarque même pas ? À cette question tu résilles silencieux, songeur alors que dans tes yeux passent tous les instants que tu as dérobé à cette demoiselle à son insu.

Photographie, voyeurisme et fétichisme. Ne le nie point, tu es un très bon photographe… ainsi qu’un envieux qui ne trouveras jamais satisfaction. Tout te semble insipide, gris et froid. Blasé, tu tentes de colorer ta vie en croisant son regard à elle ou en étalant le sang de ceux qui se sont plongés dans ce même regard. Jaloux, tu juges qu’il n’est qu’à toi, son visage ne peut être apprécié à sa juste valeur que par tes yeux. Tes mains seules peuvent caresser ces courbes que tu désires sans oser les toucher. Les autres ne sont point digne d’elle… tu élimines tes concurrents alors que tu n’osais sortir de l’ombre jusqu’à présent. Mais tu as grandit. Tu manipules maintenant. Tu prend de l’assurance.

Tu es pourtant comme ce monde que tu perçois : froid, détaché et gris. Mais tu sais jouer des apparences, tu es solitaire et personne n’oserait soupçonner ce péché en toi et ce qui salit tes mains si délicates. Tu es brillant, on t’admire mais tu n’en seras jamais satisfait car ta plus grande envie n’est pas encore tienne. Alors tu composes pour elle des mélodies sur ton violon, tu la dessines, traçant ses courbes comme tu aimerais le faire avec tes doigts. Tu effleures le fusain et non sa peau, tu ne peux la toucher comme tu caresses les photos d’elle. Tu es le prodige, l’enfant cultivé, le philosophe : l’homme qui succombe à sa folie.

Folles Envies



- Histoire ( 20 lignes minimums):

Et ainsi naquit l’enfant prodige. Tel fut la pensée de ton père lorsqu’il t’aperçut pour la première fois. Il avait raison, bien vite tu as été attiré par toutes ces choses culturelles que font ces fils de bourgeois models et pas ces gosses de riches qui foutent en l’air la réputation de leur famille. Ça c’est le rôle de ton frère aîné, Dorian. Ainsi donc grandit Edward Valentine, petit garçon doux qui accepte sans rechigner l’emploi du temps chargé des enfants aisés : équitation, escrime, cours de piano et de violon. Tu faisais ce genre de choses sans t’y opposer alors que Dorian envoyait tout balader. Souviens toi…

Souviens toi, tu as douze ans et tu rentres de ton cours d’escrime. Tes parents attendent déjà fermement ton frère, encore une fois. Mais toi tu sais qu’il ne sera accusé qu’à moitié car tu as fait disparaître ce qui pourrait aggraver son cas. Tu passes derrière lui, range ses revues porno, son herbe et les bouteilles vides qu’il a oublié sous son lit. Pour toi c’est lui le gamin. Disons les choses telles qu’elles sont : tu es un enfant gâté. Tout t’arrives tout cuit dans la bouche sans que tu ne demandes quoi que ce soit. Ton père se charge de te gaver, toi l’enfant model. Lorsqu’il voit tes yeux qui dérivent sur un pur sang arabe, il va alors t’en offrir un alors que tu n’en avais qu’une légère envie. Il s’est chargé de t’apprendre que lorsqu’on est riche, il faut satisfaire ses envies et devenir sujet de jalousie plutôt que de jalouser ce qu’ont les autres. Quelle belle erreur.

Toi, tu jalouses pourtant l’attention qu’ils portent à ton frère. Plus personne ne te félicite lorsque tu as une bonne note c’est tellement banal venant de toi. Par contre, quand Dorian ramène une note qui effleure la moyenne, on sort le champagne pour le féliciter. Ton frère a des amis lui… des conquêtes. Toi qui entre dans l’adolescence, tu es renfermé. Tu es celui qui fait partit du club d’échec, l’Intello de service. Mais un jour tu réussis à avoir une place dans le journal du lycée, tu as seize ans. Tu es photographes, tu as déjà eu le temps de t’exercer à cet art grâce au superbe appareille dernière génération offert par ton père.

Tu te sens humilié quand tu vois ces sportifs qui arborent leurs muscles pour attirer les donzelles. Les tiens sont discrets, dissimulés sous ton apparence fragile. Aussi tu observes et écoute; dès que tu le peux, tu les fais tomber un à un : prise de drogue, cocuage, bagarre… dénonciateur anonyme, photographe fourbe qui immortalise les fautes d’autrui. La vie au lycée est dure pour un solitaire comme toi mais tu restes froid devant les agressions. Même le décès de tes parents n’a su t’ébranler. Ce qui te fais vibrer, c’est de voir ceux que tu jalouses tomber sous ta plume et tes photos.

Tu gagnes une bonne place dans le journal où tu prend la sublime plume qui dénonce, se moque, descend tous ceux qui le méritent selon toi. Ton pseudo est reconnu et craint, toi tu restes un looser, personne ne te regardes. Alors tu rentres à l’appartement, ta nouvelle maison où tu cohabites avec ton frère. Et déjà, la blase revient en force quand tu constates le chaos que Dorian crée durant ton absence. Sûrement en train de faire crier une fille dans sa chambre… alors encore une fois tu ranges. Combien de string et autres détails affriolants n’as-tu pas jeté ? Tu ne comptes plus. Il est presque adulte mais tu dois toujours passer derrière lui pourtant. Tu préserves les apparences en rangeant de fond en comble avant la visite de l’assistance sociale dont la visite a été « oubliée » par Dorian. Et puis tu retrouves enfin ton refuge : ta chambre. Ici, tu prévois de quelle façon tu vas humilier le capitaine de l’équipe de basket. Et là, tu jubiles.

Ta vie bascule et trouve un sens alors que tu dois photographier le match de football. Sans grande passion, tu immortalises ces sportifs bodybuildés, suintant de sueur et de virilité. Hmmm… les bons phéromones ! Cela te dégoûtes. Puis tu prends une autre photographie quand quelqu’un passe devant l’objectif. Soupir las, encore une photo gâchée. Tu te rend dans la chambre noir sans demander ton reste pour développer ton « magnifique » shooting, fatigué d’être un observateur constant d’un monde insipide. Les images se révèlent quand tu vois la dernière « ratée » prendre forme. Tes yeux s’écarquillent devant celle qui est là, figée sur le papier glacé. Une telle créature peut elle exister . Tu sors la photographie et la tient devant toi des minutes entières pour l’admirer. Le reste n’existe plus, ta seule envie pour l’instant est de connaître son nom.

Eden Fox. Ta nouvelle obsession, ton Envie grandissante. Ta décadence, par ce nom, commence. Tu ne peux passer une journée sans la voir, discret pervers qui la prend en photo à son insu. L’un des murs de ta chambre n’arbore que son visage, une de tes commodes se remplie petit à petit d’objets lui appartenant. À mesure que le temps passe, ton envie de la posséder grandit. Quel garçon penaud tu es quand le vigile d’une boîte de nuit hésites à te faire entrer alors que tu suis celle qui vient d’y pénétrer. Tu aurais vu ta tête quand, finalement entré, des demoiselles éméchées sont venues te trouver car tu es « trop mignon » et avec des sous entendus louches. Toi, pauvre abruti, tu ne vois qu’elle de là où tu es.

Petit à petit le gouffre entre le monde et toi s’élargit , coupé de toute autre envie que celle de la posséder. Tu ne réagis même plus quand ton frère te propose un joins pour que « tu te lâches ». Tu as succombé aux charmes de quelques demoiselles seulement parce qu’elle ressemblaient à Eden. Tu ne désire que t’enfermer dans ta chambre pour contempler ces petits bouts d’elle que tu rassembles alors que tu t’introduis parfois chez elle.

Puis vient l’élément en trop qui se glisse entre elle et toi : les prétendants. Par dizaines, car oui, elle est belle et arrogante. Et toi tu boues à l’intérieur quand tu vois que eux la touchent. Ta jalousie augmente, brûle et un jour explose… comme le crâne de celui qui a osé toucher les lèvres de ton Eden. Coup d’un soir, oui peut être. Mais lui n’aura l’occasion d’en avoir d’autres. Ce soir là tu aimes le sentiment de puissance qui t’envahit alors qu’il meurt à tes pieds. Tu es fort, tu es homme et plus looser. Alors tu continues. Tu maquilles certains crimes en suicide, le reste, tu le fait disparaître ou fuir. Lettres anonymes, colis sanglants… mais toujours tu donnes à Eden des indications anonymes pour qu’elle ne penses pas que c’est elle qui les fait fuir. Tu en as obligé plusieurs à écrire des lettres de ruptures, suicide ou de départ. Intelligent comme tu es, personne ne te soupçonne. Tu aimes comme tu souffres de cette obsession, de ne pas l’avoir entre tes mains car tu as trop peu confiance en toi. Tu prends de l’assurance à mesure que tu tues les prétendants mais c’est trop tard…

La fin d’année arrive et avec elle, le changement d’établissement qui t’éloignes d’elle car toi, tu rentres dans la vie active. Tu tentes de survivres sans la voir alors que le monde artistique t’ouvre les bras, de plus tu touches enfin la part de l’ héritage de tes parents. Tu quittes ton frère et ses remarques moqueuses sur toi sans plus d’explications. Ton nouvel appartement est empli d’Elle, personne n’y rentre. Lorsque tu es aux vernissages de tes propres œuvres, photos ou dessins, tu ne penses qu’à elle. Tu deviens beau, ta réussite est entière, tu n’as plus rien à envier à personne tu le plan social. Tout te réussit, tu es publié, exposé, musicien connut dans un milieu fermé et restreint.

Pourtant Eden ne connaît même pas ton nom. Tu n’as que vingt deux ans et tout le monde t’envie. Pourtant tu as l’allure de ces artistes et poètes déchus, et cela ne fait qu’ajouter de la prestance à ton charisme. Il ne te manque qu’Elle. Ses chaussures, ses vêtements, bibelots ne te suffisent plus, ils perdent petit à petit son odeur. Puis un jour, elle réapparaît. Tu ne sais pourquoi tu es là alors qu’elle te bouscule dans la rue. Elle s’excuse en continuant son chemin, sans même te regarder. Tu la suis alors et découvre où elle habite désormais avec son père. Elle a grandit et mûrit mais son orgueil est toujours là. Ton obsession te revient et tu ne le lâches plus. Maintenant tu oserais aller la voir, t’approcher maintenant que tu es quelqu’un. Tu as une bonne situation et on te complimente assez sur ton charme pour avoir confiance.

Mais auparavant, tu cèdes à tes anciennes habitudes, tu renouvelles les photos d’elle. En vrai paparazzi, tu la suis, tu te renseigne sur ce qu’elle est devenue, tu la photographies sans te lasser. Et le jour où tu décides de t’introduire chez elle pour lui dérober des affaires elle n’y est plus… ni elle, ni ses effets personnels. Partie… une fugue sûrement puisqu’elle déteste ses parents. Ton monde s’effondre, tu venais à peine de la retrouver qu’elle disparaît de nouveau. Tu rentres chez toi, blasé et vide. Une lettre t’attends bien sagement. Tu ne prend la peine de l’ouvrir, trop aveuglé par ta solitude et ta tristesse. Quelques jours plus tard tu la retrouves par hasard et l’ouvre…

Ton appartement est vide et à vendre. Tu pars car on t’a promis la choses que tu veux le plus au monde, vil envieux..

Eden


- Informations supplémentaires (facultatif): //





III - MAIS ... AU FAIT ...


- Personnalité sur l’avatar : Marc-André Grondin
- Ce qui a poussé votre inscription (design, histoire, un personnage déjà présent…) : Un péché… j’en avais très envie.
- Avez- vous des critiques à faire ? : Nan.
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Eden Fox
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Eden Fox


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Péché : Orgueil

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MessageSujet: Re: Edward Valentine   Edward Valentine I_icon_minitimeLun 20 Juil - 15:01

J'aime, j'aime et j'aime Razz

L'histoire est super bien menée, intéressante, prenante... La plume géniale cheers

Bref, validé, et plutôt deux fois qu'une!

Au plaisir Twisted Evil
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Edward Valentine
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