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 Pant' Dalle

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2 participants
AuteurMessage
Pantaleon Dalle

Pantaleon Dalle


Messages : 43
Age : 40
Péché : L'avarice

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MessageSujet: Pant' Dalle   Pant' Dalle I_icon_minitimeLun 20 Juil - 15:23

I - IDENTIFICATION


- NOM : Dalle
- Prénom : Pantaleon
- Age : 25 ans
- Date de naissance : 29/02/84... Oui oui, une année bissextile, c‘était un mercredi même!
- Statut (employé(e)/invité(e)): Invité
- Pêché prédominant : Avarice




II - QUI ETES VOUS ?


- Physique (5 lignes minimums) : Comment me décrire? Disons que je suis plutôt pas mal, mais j’ai connu des temps difficiles! Durant une brève période de mon adolescence je ressemblais plus à rien qu’à quelque chose. Ca en plus de mes autres problèmes…

Enfin! J’ai les yeux bleus… Mais ça faut pas être un abruti pour s’en rendre compte, je suis plutôt normal question taille, atteignant avec fierté le mètre quatre vingt trois (il est important le trois). Ma corpulence est moyenne, musclée et élancée. J’ai un visage plutôt carré, un nez, une bouche, des cheveux mi-longs bruns, deux bras, deux jambes… Je suis un mec normal en fait.

Question fringues je ne me prend pas trop la tête! Les premiers trucs qui me passent sous la main me vont, en général, très bien et je ne vais pas mettre des plombes pour me saper. Donc ça dépend, parce que tout me va. Costume cravate si je vais chercher du travail ou que j‘en ai un, keffieh, débardeur blanc ou noir, jean et rangers si je reste chez moi ou que je ne fais rien d’exceptionnel.

Accessoirement parlant j’ai un piercing à la langue et me suis fait tatouer un tribal sur la cuisse.

- Caractère ( 10 lignes minimums): Ah! En voilà une question. Difficile de dire qui nous sommes… Quoi que…

Tout d’abord je tenais à préciser que je ne suis pas différent d’un autre gars! Caractériellement parlant je suis indifférent aux problèmes féminins en général, elles, je les trouvent hypocrites, cucul total, je les pensent obsessionnelles, rêveuses, idéalistes… Enfin je m’égare, il faut que je parle de moi.

Je suis un sac de poisse. Tous les malheurs du monde sont sur mes épaules. Ma vie est une catastrophe ambulante mais je l’assume parfaitement et elle fait de moi un bon vivant. Je profite, vivant au jour le jour et détestant profondément l’idée d’être stationnaire. Cela autant dans mes relations de couple que dans la vie courante. Je ne peux rester au même endroit trop longtemps sous peine de me sentir étouffer. Je suis donc un peu bohème, préférant la simplicité à tout ce qui est compliqué. En même temps quand on vous offre une ligne droite vous n’allez pas zigzaguer.

Paradoxalement j’aime l’argent. Peut être parce que j’en ai peu...... Erm... Ouais bon, okay je suis un gros radin! Quand on m’offre un cadeau qui me plait pas je suis capable de le réoffrir à quelqu’un d’autre quand l’occasion se présente, il est pas impossible que j’ai déjà acheter un vin de mauvaise qualité pour aller dîner chez des potes ou même de faire genre que j’ai oublié mon porte monnaie pour ne pas payer la note d’un resto. Je mendie, parce que c’est la classe, souvent dans des métros, pour aller chercher mes clopes ou prendre un café, je squatte chez des potes pour pas avoir de loyer à payer et je gratte mes parents quand je veux aller quelque part ou pour m’acheter de nouvelle fringue. Et puis, quand je vois un truc dans un magasin qui me plait, et que c’est peu encombrant, j’me fais pas chier et je me sers à mon bon plaisir. Qui a dit clepto?!

Ensuite je suis très dispersé, je peux commencer dix choses à la fois. J’énerve les autres en faisant ça, parce que je suis tête en l’air et surexcité de la vie. Comment on dit là? Le terme scientifique des gens qui sautent partout sans se fatiguer? Superactif! Voilà, c’est moi. Bon, j’avoue ne jamais terminer ce que j‘entreprend, je me laisse vite déborder mais ça m’amuse et ça même si je me fais passer pour un fainéant incapable. Ce qui signifie que je me fiche pas mal de l’avis des autres, à mon égard toujours est-il. Effectivement je n’apprécie pas trop quand des insultes ou moqueries sont dirigées vers mes amis, mais ça c’est mon côté protecteur qui prend le dessus.

Têtu je ne démordrais pas de ce que je dis tant qu’on ne m’aura pas réellement prouvé que j’ai tord, et encore là, je pourrais vous trouver une excuse disant que je n’avais pas si tord que ça. Cette petite chose fait de moi quelqu’un d’énervant. De plus je déteste que l’on me dise ce que je dois faire, que l’on me dicte des lois que je n’approuve pas, et je m’appliquerais sournoisement à faire systématiquement le contraire de ce que l’on m’ordonne. J’aime avoir une certaine liberté et c’est pour cela que je ne m’attache à rien (sauf à l‘argent, of course). 25 piges et je n’ai jamais été amoureux une seule fois, je ne me suis jamais accroché à quelque chose, et cela même amicalement parlant, et j‘ai même pas d‘appartement! Y a bien des gens que j’adore, mais je coupe les ponts rapidement, pour ne pas qu’ils me deviennent indispensables… Oui, je déteste profondément dépendre des autres!

Ensuite je suis très cynique, défaitiste, pessimiste, philosophique, boudeur, râleur… Il m’arrive souvent de parler d’un ton morne et plat, et raison de plus quand je suis dans mes mauvais jours.

Bon je m’arrête là, parce que détailler tout les attraits de ma personnalité serait long et fastidieux.

- Histoire ( 20 lignes minimums): J’ai une vie de merde. Je pense que c’est assez clair.

Donc si je devais résumer ma vie c’est avec ces simples mots, ça définis très bien ce qui m’a mené jusqu’ici. Après si je devais faire un petit topo sur mon histoire je commencerais… Ben je ne commencerais pas justement parce que cet amoncellement de faits est malchanceux. Déjà, déjà ma vie a mal débuté, quand ma mère a accouché de moi (ben ouais pas du voisin) elle a du tellement avoir mal et tellement me maudire qu’elle c’est dit « lui je vais lui pourris son enfance » et elle m’a appelé Pantaleon. Vous savez Pantaleon le martyrologe torturé puis décapité! Oui oui, c’est un vrai prénom! Et comble du tout mon nom de famille est Dalle. Alors là vous vous dîtes, mais pourquoi il fait chier?, simple: P.Dalle c’est pas super viril et initiales P.D. c’est le summum du ridicule!

Bon c’est bon on vit avec, c’est affreux, mais on vit. Enfin, on agonise. Au fond je suis sur qu’elle a du se dire que j’allais être pourris gâté, beau, et pour couper un peu le narcissisme et l’égocentrisme qui me pendait au nez elle m’a enfoncé. Et je creuse encore! Le simple fait d’appeler sa banque, son assurance ou autre et de se présenter met mal à l’aise. Pantaleon… Pardon?! Pantaleon! Ah! Monsieur P.Dalle?
Petit c’était plutôt: il est où Pantalon?

Donc voilà, mon prénom est la clé de toutes les misères qui ont suivie, ce n’était que le début de mon cercle vicieux. Evidement, quand on commence comme ça c’est que, si Dieu il y a, il n’aime pas notre gueule. Et tant qu’à faire, il vous pourris jusqu’à la fin.

A la limite, l’enfance c’est une mauvaise période, mais le reste? L’adolescence! Vous vous voyez vraiment dragué une fille en disant que vous vous appelez Pantaleon Dalle? Non bien sur. C’est tellement ridicule que j’ai enfoncé mon nez dans les bouquins jusqu’à avoir 18 piges! Bon d’accord peut être pas, vers 14ans j’ai arrêté en me disant que si je me mettais à la musculation les filles ne me demanderaient même pas mon prénom et voudraient toutes sortir avec moi. Et, si au départ j’ai un peu désespéré, j’ai vu qu’avec le temps, effectivement, elles ne vous le demandes plus! Une belle gueule, un beau corps, hop hop hop et on part sans laisser le nom, seulement le numéro de téléphone… C’est pour ça qu’elles ne me rappellent jamais, elles ne savent jamais qui demander!

Bref je vais vous raconter ma première fois, c’est toujours sympa à raconter. C’était avec une superbe fille qui s’avérait être ma meilleure amie. J’devais avoir 15 ans, et elle 16 à tout péter. Elle s’appellait Lucy, prénom basique quoi, mais elle était carrément canon. La soirée se passa bien, et puis au moment d’aller au lit elle m’embrasse, super, je ne refusai pas, l’encourageant même à continuer. Tout se passait à merveille, nous étions sur son plumard entrain de se faire des mamours, je commence à la déshabiller elle fait de même puis souffle qu’elle a envie de moi, je lui répond pareil, on est content. Je me lève pour aller chercher une capote, heureux, oubliant mon pantalon ouvert… Il descend jusqu’à mes chevilles, je m’emmêle les pieds dedans, tombe comme une merde, sur le nez pour ne pas faire les choses à moitié… Et comble de l’humiliation son père rentre en urgence dans la chambre restant figé devant sa fille, totalement nue. Je me redresse, le pif en sang, obligation de m’amener à l’hôpital. Il était pété.

Une histoire comme ça, ça s‘invente pas, ça sent le vécu hein?!

De plus en sortant de l’hôpital son père m’a pris à part en me demandant si c’était normal que l’on se déshabillait dans la même pièce. Moi, imperturbable, je lui ai répondu que ce n’était pas un problème pour nous, qu’on était pas pudique, il s’est mit en rire en me demandant si je ne le prenais pas pour un con. Bon j’avoue quand y repensant c’était peut être pas la meilleure des excuses. Du coup il m’a interdit de la revoir en me balançant qu’il ne voulait pas que je touche à sa fille tellement chaste et tellement pure. Genre la blanche colombe et le pauvre crapaud… Vive moi.

Résultat on se voyait en cachette, ça nous allait très bien, malgré mes deux ou trois boulettes.

Dans la catégorie chance nous avons aussi la fois où je me suis trouvé un boulot! A 21ans, dans une petite agence de publicité, je devais critiquer le projet d’une personne dont on ne m’avait pas donné le nom. C’était un test, pour ne pas que mon avis soit altéré, ou que je ne le donne pas avec l’influence de mes affinités. Je me lance, détruit ce qui m’étais proposé, lui trouve tous les défauts du monde, je le descend plus bas que terre, glisse des idées de moi, que je trouvais ingénieuses, pour montrer que j’étais intelligent et inventif… Un grand silence se fit entendre après ma tirade, je les pensai admiratifs, jusqu’à ce que je vois un homme tout rouge percer dans l’assistance. Ce projet était celui de mon patron. Ô rage, Ô désespoir…

Vous imaginez bien que je n’y restai pas longtemps, le temps de ma période d’essaie en fait, et je déménageai dans la foulée vers des contrés nouvelles. Bon, je suis français, et je partis en Angleterre, on peut pas dire que c‘était le bout du monde. J’enchaînai les petits boulots, appris correctement la langue, dans tous les sens du terme, et finis par devenir serveur sans ambition dans un café pourris, avec un salaire pourris, dans une rue pourrie, avec des clients pourris et des patrons dans les même tons que le reste.

Ce travail fut un vrai supplice, mais en parallèle je pus apprendre le théâtre, la boxe thaï, la guitare et je me mis à pousser la chansonnette. C’était plutôt cool, ça n’empêchait quand même pas qu’au moindre trottoir je me tordais la cheville, que la moindre flaque était pour moi et que le moindre pigeon ayant envie de faire ses besoins me survolait pile à ce moment là. Mais je me console en me disant que mon compte en banque est bien remplis, étant donné que je n’y touche jamais.

Et puis un beau jour, je reçois la lettre qui changea ma vie… On me proposait un logement, tous frais payés, pour tourner dans une série moyenne parce que les types qui m‘enseignaient le théâtre m‘avaient soit disant conseillé. J’me dis, fuck off, ça pu cette affaire… Et puis là, je vois le montant de mon salaire. J’en ai bavé de joie, le truc immense, les zéros infinis. J’me dis, okay, si on me prend par les sentiments! J’avais un rendez vous dans la soirée, où j’allais sans me presser (je ne suis pas très ponctuel)… C’est bon, 20 minutes de retard c’est pas non plus la fin du monde, mais ils ne semblaient pas bien content, ces gens… Quand j’arrivai je sentis une main empoigner mon épaule. Je sursautai, me tournai brusquement… N’ayant pas vu le lampadaire à ma gauche je me le pris contre la joue, tombant sous cette rencontre, ma foi, fort incommodante. Les autres se mirent à rire, et de bon cœur en plus, pendant que moi je crachais du sang… Pas eu le temps de voir leur visage que…

Trou noir, ils me cognèrent sans vergogne pour m’endormir.

Alors okay, j’me suis fais eu… Mais quelqu’un pourrait me dire où j’me trouve là?!

Sérieux, j’ai pas vraiment une vie de merde?

- Informations supplémentaires (facultatif): Attention, je fume! Si j’ai pas ma dose de nicotine je peux être une vraie tornade grave soulante. Et je fais de la boxe thaï, payé par papa maman… Si c’est pas formidable les parents!





III - MAIS ... AU FAIT ...


- Personnalité sur l’avatar : Matt Dallas
- Ce qui a poussé votre inscription (design, histoire, un personnage déjà présent…) : Un tout =)
- Avez- vous des critiques à faire ? Eeeuhh… Naaaa
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Taylor Gordon
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Taylor Gordon


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MessageSujet: Re: Pant' Dalle   Pant' Dalle I_icon_minitimeLun 20 Juil - 16:50

Je te valide monsieur le poisseux. T'approches pas de moi surtout, au cas où ce serait contagieux. Laughing

Bon jeu. ^^
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Pant' Dalle
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