Jen Parker [Terminé]

- NOM : PARKER
- Prénom : Jen
- Age : 32 ans
- Date de naissance : 21/06/1977
- Statut : employée (chef cuisinière)
- Pêché prédominant : la colère









- Physique :

Malgré les fourneaux qui l’entourent, vous distinguez une silhouette, fine, agréable à l’œil, qui se déplace avec grâce. Qui a dit que cuisiner ne pouvait pas se faire dans l’élégance ? C’était un art et il devait se faire avec distinction et minutie ! Cette silhouette voyage donc de plan de travail en four, de four en casseroles, de casseroles en four, de... Vous avez compris. Sa finesse la grandit un peu, ce qui n’est pas pour lui déplaire mesurant pas plus d’un mètre soixante-sept. En réalité, sa taille ne la dérange pas plus que ça, elle s’en fiche même. C’est même un avantage dans son métier, vous savez : ça évite de se cogner contre la hotte.

Approchez-vous un peu plus. Oui, oui, n’ayez pas peur, elle ne vous mordra pas... Enfin, qui sait ce dont elle serait capable ? Mais ne vous inquiétez pas pour le présent, elle se trouve assez occupée pour vous ignorer. Plus près, vous pouvez ainsi contempler son visage. Celui-ci est tout aussi fin bien qu’il soit à l’image de son pêché, c’est-à-dire dur. Des sourcils dansent au rythme de ses expressions au-dessus d’yeux marron qui s’embrasent quand l’ire la prend. Ses lèvres pleines remuent au gré de la mélodie que mademoiselle Parker chantonne, ne vous laissant pas apprécier ses fossettes qui lui donnent un air enfantin quand elle sourit. Et au milieu de tout ceci, un nez légèrement épaté trône, sans rien faire d’autre qu’être là. Bien sûr, on n’a jamais vu un nez se moduler en fonction d’une humeur... Ses cheveux longs attachés pour le bien de son travail finalisent le tableau avec une touche de noir.



- Caractère :

La colère. Cela sonne comme un cor de guerre qui fait charger une cavalerie, en l’attente d’une attaque à l’arrière, à toute provocation intempestive. Raisonnant à n’importe quel moment dans la plaine de l’esprit, il enclenche un carnage indescriptible de folie, de susceptibilité, de rage. On ne contredit pas Jen Parker, on ne dénigre pas son travail et surtout, surtout! on déguste les applications de son génie culinaire comme il se doit. Elle ne cuisine pas pour des porcs ni ne devrait, d’ailleurs, s’abaisser à cela ; elle possède beaucoup trop de talent pour qu’on le gâche de la sorte. Malheureusement pour eux, certains ne se rendent pas compte qu’on ne badine pas avec la demoiselle. Et à ces personnes, je leur conseillerais d’implorer ce qu’ils veulent pour s’en sortir indemne. Parce que cette jeune femme ne se contente pas de crier après les fauteurs de trouble (selon elle, ils le sont) ou de gesticuler dans tous les sens en devenant rouge d’énervement. Non, tout ce qui lui est à portée de mains est bon pour servir de massue ou pour être lancé si vous vous trouvez trop loin. Si vous avez de la chance, elle ne dénichera rien qui lui convienne pour cette activité et se défoulera sur vous à mains nues. Si vous considérez cela comme de la chance, bien entendu. Dans ces situations, ni la raison ni la logique ne peuvent vous être d’une quelconque utilité : ces capacités ont fui Jen depuis longtemps.

Un litre de colère.
Deux pincées de susceptibilité.
Un soupçon d’arrogance.
Une dose de violence.

Pour l’instant, la recette dont est faite la trentenaire est assez corsée... Pimentez-la d’une cuillère à soupe de folie bien qu’adoucie par de la modération. Ensuite, passez à la deuxième partie, celle qui rend l’individu plus agréable...

Si miss Parker déploie un ouragan dès le premier faux pas, elle se révèle aimable le reste du temps. Oui, oui, véridique. Appelons ce phénomène le calme après la tempête. Souriante quand rien ne la contrarie, elle est d’une nature dynamique et presque enjouée. Attirée par les gens, la compagnie, son grand damne est de ne pas avoir la fibre sociale, comme on dit. Ses conversations peuvent se montrer maladroites et très peu d’amis elle a à cause de ses accès de furie. Portée sur l’humour, du noir au ridicule, la demoiselle n’en rate pas une pour plaisanter et égayer une rencontre. Seulement, ses plaisanteries deviennent assez... mauvaises dans ses mauvais jours. Et attention, si on ne la trouve pas drôle, ça pourrait la blesser... Elle n’aime pas se sentir blessée. A vrai dire, elle ne supporte pas les attaques à son encontre. Même si elle ne réagit pas toujours violemment, Jen y répond de façon aigre et agitée.

Sont ajoutés donc :
Deux carafes de dynamisme.
Un bol de sympathie.
Une cuillère à café de sociabilité.
Une mesure d’humour.

Voici qui équilibre plus ou moins le tout. Pour conclure, ajoutez-y du liant composé d’impulsivité et vous voilà avec une Jen Parker. Enfin, un détail manque à la liste, celui qu’on appelle l’ingrédient mystère...






- Personnalité sur l’avatar : Liv Tyler
- Ce qui a poussé votre inscription (design, histoire, un personnage déjà présent…) : le contexte ! Vraiment intéressant et tordu xD
- Avez- vous des critiques à faire ? *réfléchis parce que ça lui arrive de temps en temps* Pas des critiques à proprement parlées, juste des conseils : ce serait ptetre un plus qu'il y ait un coin invité où ils pourraient poser leurs questions (ça sent le vécu, ça XD)^^ Et puis, ajouter des lieux insolites, ça sent toujours le rp intéressant (ça aussi, c'est du vécu) xD Maintenant, vous faites ce que vous voulez, il est déjà très bien ce fo'

Je me permets de répondre déjà à tes conseils. ^^

Pour le coin invité, il était déjà plus ou moins instauré. Les annonces et news étaient ouvertes pour toutes les questions et problèmes. J'ai maintenant signalé que l'accès était autorisé aux invités.
En ce qui concerne les lieux insolites, il y en a. Les salles mystères sont là pour ça. ^^ Sans compter que durant vos rps et explorations, Sins vous dévoilera de nouveaux lieux.

Dans tous les cas, je crois qu'on attend tous avec impatience la fin de ta fiche et je m'en vais de ce pas, rajouter Liv Tyler dans les avatars pris.

C'était déjà ouvert aux invités ? Parce que ça me disait que je pouvais pas poster dans le forum... à moins que j'ai encore une fois fait preuve de mon état de boulet, c'est fort possible.
Pour les lieux insolites, je voyais plus des endroits auxquels on ne penserait pas genre les toilettes, etc^^ *pense qu'il serait temps qu'elle aille lire le descriptif des lieux XD*

J'espère avoir fini ma fiche ce soir... on verra bien, j'ai la manie de prendre touuuuut mon temps pour écrire xD

Ah oui en effet, les toilettes, c'est insolite. Personnellement l'idée de poster là-bas ne me viendrait même pas à l'esprit et pour le moment, ce n'est pas à l'ordre du jour.

Sur ce, je te laisse finir ta fiche tranquillement, ce soir ou plus tard, tu as le temps.

- Histoire :

Jour de déluge, la pluie battait les vitres de la salle d’accouchement en un fracas presque assourdissant. A intervalles irréguliers, le ciel se déchirait et hurlait allez-savoir-quoi. Soudain, comme un cri se faisait entendre, un éclair y répondit d’une ferveur toute nouvelle...

Franchement, vous y croyez ? La naissance durant un jour exceptionnel, le temps qui répond au nouveau-né... C’est tellement cliché. Et puis, ce genre de fioritures est réservé aux êtres qui sortent de l’ordinaire, non ? Les élus, les sauveurs de l’humanité et tutti quanti. Ce qu’est loin d’être Jen Parker – si seulement on croit à ces individus destinés.

Jen est née comme toute personne dans la souffrance et le sang de sa mère, Emily Parker. C’était le 21 juin 1977 et personne n’avait prêté attention à la météo. Elle comptait deux yeux qui s’ouvrait difficilement, un nez, une bouche qui criait, deux mains et dix doigts qui s’agitaient dans tous les sens, deux pieds et dix orteils qui copiaient les mains et les doigts... Bref, tout allait bien.

Sa jeune enfance fut heureuse ; des parents aimants, émerveillés de tout ce que faisait leur bébé, un environnement sans problèmes. Seulement, on n’attend pas la même chose d’un bébé, d’une enfant de trois ans que d’une gamine de huit ans...

« Qu’est-ce que c’est que cette horreur, Jen ?! »

Le sourire de la petite fille disparut et celle-ci commença à mâchouiller sa lèvre inférieure.

« - Mais papa...
- Mais rien du tout. Comment oses-tu me ramener des points pareils ? Tu me déçois... »

Les larmes commencèrent à franchir les yeux de Jen. Il n’était pas content d’elle, une fois de plus. Une fois de plus, elle avait mal fait. Est-ce qu’il l’aimait encore ? Elle n’en était plus sûre, il était souvent fâché à cause d’elle.

Un son interrompit ses pensées, la douce voix de sa maman qui intervenait en sa faveur.
« Johan, tu te rends compte de ce que tu dis ? Notre fille nous a ramené un très bon bulletin, elle a le droit d’avoir des faiblesses en math. »

Mais... Mais oui, elle avait de bon points dans les autres matières, alors pourquoi papa n’était-il pas satisfait ? Parce qu’il devait pouvoir être fier d’elle. Il fallait qu’il soit fier. Elle devait faire des efforts. C’est en sanglotant qu’elle le lui dit.

« - Je vais faire des efforts, papa.
- Tu as intérêt. Maintenant, file dans ta chambre. »

Le père Parker était un perfectionniste et possédait un ego démesuré ; il lui était inconcevable que sa propre fille ne soit pas l’égale de la perfection. Sa mère, même si elle intervenait parfois, ne possédait que très peu de cran et s’écrasait face à son mari. Ce n’était d’ailleurs certainement pas un fait anodin pour monsieur Parker qui devait trouver là un contentement à la hauteur de son besoin de dominer. Une preuve de sa supériorité.
Bien sûr, cette recherche chez sa fille ne s’effectuait pas uniquement dans ses notes scolaires, c’était un systématisme. La distinction dans tous les domaines pour que sa descendance soit digne de lui. Et bien sûr, Jen ne pouvait le combler entièrement. Alors, au fil des années, leur relation se dégrada, explosant à l’adolescence.

« Papa, je veux devenir cuisinière. »

Jen, alors âgée de seize ans, l’annonça d’un ton de défi. Son père n’était jamais content, autant faire ce qu’elle souhaitait donc. C’était des reproches pour des reproches, ça n’y changeait rien.

Ils étaient tout trois à table, Johan réussit à s’étrangler avec son potage avant de toiser sa fille.
«- Tu rigoles, j’espère. Parce que si tu croies que je vais te payer des études de cuisine...
- Je suis plus que sérieuse.
- C’est la meilleure de l’année ! Ma fille, cuisinière. Ta mère l’est et elle n’a suivi aucunes études pour ça. C’est hors de question que tu... »

Que ça soit un ras-le-bol, la goutte qui fit déborder le vase, la crise de l’adolescence, Jen n’en pouvait plus. Il ne réussirait pas une fois de plus à la faire se sentir minable, à la faire culpabiliser. Il ne devait plus la contrôler. Une rage sans nom, refoulée depuis tant de temps, s’empara de la jeune fille et, se levant, elle hurla presque :
« - Je ferais ce que je veux ! Arrête de faire comme si tu pouvais me modeler comme tu l’entends ! Je ne suis pas un pantin que tu peux raboter à chaque fois que tu remarques une imperfection !
- Tant que tu es sous mon toit, tu feras ce que MOI je te dis, insolente ! Et cesse tes airs théâtraux, tout ce que j’ai pu faire est pour ton bien. Que crois-tu que tu serais devenue sans moi ?
- Toi, toi, toujours toi ! Et qu’est-ce que tu fais de maman ? Elle n’ose pas te le dire mais tu lui pourris la vie. Sois belle et tais-toi, c’est tout ce que tu sais lui dire ! En fait, t’es un gros con et macho au surplus, pourquoi j’ai mis autant de temps à m’en rendre compte ?! »

A ces mots, son paternel sauta sur ses pieds et administra une gifle dont elle se souviendra, furibond. Sans réfléchir, l’adolescente s’empara d’une assiette et la brisa sur ce qui lui servait de crâne. Elle répéta le geste jusqu'à ce que le quadragénaire retombe sur sa chaise, inconscient, avec des cris rageurs "C'est toi ! C'est toi le minable !". Pendant toute la confrontation, sa mère n’avait pipé mot, abasourdie, mais elle se rua, affolée, sur son mari inconscient en s’exclamant :
« - Jen, comment as-tu pu ? C’est ton père !
- Maman, comment tu peux prendre sa défense après tout ce qu’il t’a fait ?! Je ne veux plus de ça comme père. Au revoir, maman. »

Jen s’éloigna alors de la table, vers sa chambre pour faire ses affaires. Il ne devait plus la contrôler, elle ne devait plus avoir mal quand il lui faisait des remarques. Pour cela, il fallait qu’elle parte, qu’elle n’ait plus de comptes à lui rendre. Tandis qu’elle arrivait à la porte de la salle à manger, madame Parker l’interpella, au bord des larmes :
« - Jen... Jenny, où vas-tu ?
- Je pars, maman. Il a bien dit que le seul moyen était que je parte.
- Non ! Non, il n’a pas du tout dit ça ! Ma chérie, reste à la maison...
- C’est trop tard de toute façon, il vaut mieux pour moi que je ne sois plus dans les parages quand il se réveillera, tu le sais. »

Sa mère lança un regard anxieux vers son époux avant de retourner vers sa fille, résignée.
« Je ne veux pas te perdre, Jenny. »
Parce qu’elle savait que Johan ne la laisserait pas voir sa fille si celle-ci quittait la maison, c’était une question d’amour-propre. Jen aussi en était certaine.
« Tu n’es pas obligée d’obéir à papa. »

Sur ce, la jeune fille plus que décidée passa la porte.

Mademoiselle Parker logea d’abord dans un motel, le temps de dénicher un appartement pas trop cher. Sa chance : elle faisait plein des petits jobs par-ci par-là chez les gens depuis qu’elle avait douze ans et travaillait dans un magasin depuis un an. Bien entendu, ce ne fut pas ça qui la fit survivre, plutôt l’aide financière de sa mère. Pour sa fille, celle-ci osait contrarier Johan Parker, bien qu’elle le fasse en secret. S’ensuivit ainsi des années difficiles où Jen s’échinait à concorder études, boulot et vie quotidienne qui allait des courses au ménage en passant par les factures. Rien de tel pour forger un caractère indépendant et débrouillard.




Jen était âgée de trente ans, mariée et occupait la place de chef cuisinière dans un restaurant réputé du centre de Londres. Son talent indéniable, sa créativité et son ambition l’avaient vite fait gravir les échelons. Et heureusement que son génie culinaire compensait le reste... Qu’est-ce donc que le reste ? Eh bien, ses accès de furie évidemment. Il se révèle plutôt difficile de travailler avec une personne qui commence à lancer les casseroles dès qu’on a « gâché » son plat. D’ailleurs, le personnel se renouvelait assez souvent, la plupart ne supportant pas une telle ambiance de travail. Seulement, il arrive un moment où les patrons n’admettent plus de devoir trouver de nouveaux employés tous les mois et la jeune femme fut renvoyée à l’aube de ses trente-deux ans.

Ce fut dans la même période que son époux, John Ayston, demanda le divorce. Il commençait à... comment le dire poliment ? en avoir marre des sautes d’humeurs de sa chère et tendre femme. A la limite, si elle se contentait de crier un bon coup puis d’aller essayer se calmer dans une pièce, il aurait pu rester mais là, monsieur Ayston recevait des coups, avait fait plusieurs visites à l’hôpital. Même le chat en pâtissait : une casserole lui avait un jour servi de jacuzzi alors que de l’eau bouillait dedans.

Bref, les éléments de sa vie s’effilochaient en même temps. Quel meilleur moment pouvait choisir l’expéditeur de cette lettre ? L’assurance d’un travail, d’un logement, tout ça isolé. Sans aucun doute, une offre pareille ne se refusait pas, Jen avait besoin de calme, de la possibilité de se poser quelques temps. Son futur employeur lui demandait simplement de cuisiner et de se prêter à... un jeu. Rien d’extraordinaire, écrivait-il. Et que pouvait-elle y risquer ? Qu’est-ce qu’elle attendait pour accepter alors ? Mais ne soyez pas si pressés voyons, elle accepta.

Clac. Clac. Clac. Les talons de mademoiselle Parker raisonnaient contre les pavés vers neuf heures du matin. Un rendez-vous pour un boulot en pleine rue, c’était plutôt étonnant, pensait-elle, mais qui vivra verra ! Elle atteignait le lieu cité quand deux hommes s’approchèrent.

« - Bonjour, je viens pour l’embauche...
- Bonjour. On sait, madame, on sait. Pourquoi n’avez-vous pas vos affaires ?
- Eh bien, je pensais que vous me poseriez des questions avant...
- La lettre ne disait-elle pas que c’est vous qu’on voulait ?
- Ma valise est dans ma voiture, si vous voulez bien y passer...
- Nous vous suivons. »

Des drôles de types, pour sûr. Mais ce n’était pas comme si cela avait grande importance. Jen les conduisit donc où elle stationnait et, une fois le bagage pris, ce sont ces hommes qui prirent les devant. Arrivés à un véhicule, ils lui demandèrent de bander ses yeux. Une histoire de secret du lieu de destination, de l’impossibilité pour elle de n’aider aucun joueur. Le voyage fut ainsi long et ennuyeux. Aucun son qui lui parvint ne pouvait être un indice.

Après elle ne savait combien d’heures de trajet, avec plusieurs changements de moyen de transport, ils s’arrêtèrent enfin. Cependant, ce ne fut qu’à l’intérieur du bâtiment qu’on lui retira le bandeau qui obstruait sa vue.

La jeune femme se situait dans un hall énorme aux boiseries riches et au carrelage étincelant. L’escalier qui faisait face à la porte d’entrée était imposant, sa rampe finement sculptée. A l’évidence, elle avait eu plus que raison d’accepter ce contrat ; des gens qui sauraient savourer son art sans doute aucun.

Soudain, on l’interpella et elle suivit son guide...

*

Finiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! J'espère que cela vous convient...

Taylor, figure-toi que j'ai lancé mon tout premier rp dans des toilettes et qu'il en a résulté... une grande hisoire et surtout un sacré bazar XD

Merci beaucoup

Un jour, le domaine de Sins laissera apparaitre une porte entre ses murs. Les hôtes et employés, bien curieux, s'approcheront alors naïvement et tomberont nez à nez avec... les toilettes à la Jen Parker. Mwahaha.

Amuse toi bien parmi nous.